Service de rapport personnalisé – Rapport sur la relance dans le marché des États-Unis

Note : Ce rapport contient des données prévisionnelles basées sur les chiffres historiques.

Résumé

L'United States (U.S.) Bureau of Economic Analysis a estimé que le Produit intérieur brut (PIB) aux États-Unis s'était accru selon un taux annuel de 2,1 % pendant le troisième trimestre de 2021, après une hausse de 6,7 % au cours du deuxième trimestre. La décélération du PIB réel durant le troisième trimestre est attribuable au ralentissement des dépenses de consommation. La recrudescence des cas de COVID-19 s'est traduite par de nouvelles restrictions et des retards dans la réouverture des établissements de certaines parties du pays. Durant le troisième trimestre, les paiements d'aide gouvernementale sous forme de prêts-subventions aux entreprises, de subventions aux administrations locales et des États, ainsi que de prestations sociales aux ménages ont tous diminué.

Par ailleurs, les contraintes liées à l'approvisionnement ont freiné la rapidité de la relance pendant la deuxième moitié de 2021 et ces contraintes comprennent l'augmentation du prix des produits de base, des coûts élevés et des pénuries des principaux intrants de production dans les chaînes d'approvisionnement mondiales, de même que des pénuries de main-d'œuvre dans plusieurs secteurs. Les contraintes liées à l'approvisionnement devraient diminuer en 2022.

Pendant les neuf premiers mois de 2021, les exportations de produits agroalimentaires et de produits de la mer canadiens vers les États-Unis ont grimpé de 17,5 % pour atteindre 34,7 milliards de dollars canadiens (G$ CA), comparativement à 28,8 G$ CA durant la même période l'an dernier. Les répercussions de la COVID-19 sur le commerce agricole continuent d'être négligeables. Les exportations en septembre 2021 étaient évaluées à 4,2 G$ CA, soit un bond de 26,7 % par rapport à septembre 2020. Toutefois, les exportations canadiennes vers les États-Unis ont diminué de 4,0 % d'août à septembre 2021.

 

Macro-économie

Le Fonds monétaire international s'attendait à ce que le PIB américain augmente de 6,0 % en 2021 et de 5,2 % en 2022.

Les dépenses personnelles de consommation ont augmenté de 1,3 % (12,0 % d'une année à l'autre) en octobre à la suite du gain de 0,6 % non révisé enregistré en septembre. Après le rajustement des prix en fonction de l'inflation, les dépenses se sont accrues de 0,7 % (6,6 % d'une année à l'autre) après avoir augmenté de 0,3 % en septembre.

L'économie américaine a été freinée par un manque de personnes disposées à travailler. Le nombre d'emplois non agricoles a augmenté à un rythme plus lent que prévu en novembre 2021. Au total, 210 000 emplois ont été ajoutés au cours du mois dernier, soit moins de la moitié du consensus établi à 550 000. L'emploi aux États-Unis se situe encore à 3,9 millions de moins que les niveaux antérieurs à la COVID.

L'année 2022 sera une année « MESSI » (Moderating Expansion with Sticky Supply-driven Inflation ou expansion modérée par l'inflation rigide axée sur l'offre) pour l'économie américaine. Après avoir connu l'un des chocs économiques les plus graves du dernier siècle en 2020, l'économie américaine a plongé dans l'une des reprises les plus rapides de l'histoire moderne en 2021. Même si l'Organisation mondiale de la santé juge qu'Omicron est un « variant préoccupant », il est trop tôt pour supposer qu'il s'ensuivra une correction importante de l'économie américaine.

Sommaire de la relance des États-Unis
T1 2020 T2 2020 T3 2020 T4 2020 T1 2021 T2 2021 T3 2021 T4 2021 T1 2022 T2 2022 T3 2022 T4 2022
Indice de la relance 103,4 86,7 93,2 95,6 98,3 103,2 98,2 101,0 104,8 106,9 108,6 110,4
Activité économique 99,6 90,7 97,5 98,6 100,1 101,8 102,3 103,5 105,0 106,0 106,8 107,5
Emploi 100,1 93,7 96,7 98,0 98,3 98,7 99,1 99,7 100,2 100,8 101,1 101,6
Dépenses de consommation 99,1 89,6 97,7 98,5 101,2 104,1 104,5 105,2 106,2 106,9 107,4 109,4
Ventes au détail 101,3 98,7 106,1 105,8 111,7 115,7 115,0 118,7 120,3 121,9 123,4 125,3
Confiance des consommateurs 133,8 28,0 33,7 51,6 53,6 81,3 30,4 43,5 71,2 83,9 92,6 98,5

Source : Euromonitor International, 30 novembre 2021

Nota : L'indice de la relance d'Euromonitor est un indice composé qui donne un aperçu de l'activité économique et des consommateurs et aide les entreprises à prévoir la reprise de la demande des consommateurs dans 48 grandes économies. L'indice tient compte du PIB total et des facteurs qui déterminent les dépenses engagées par les consommateurs, soit l'emploi, les dépenses de consommation, les ventes au détail et la confiance des consommateurs. Les valeurs de l'indice mesurent les fluctuations par rapport à la moyenne trimestrielle pour 2019, sauf l'indice de la confiance des consommateurs, qui repose sur la moyenne historique à long terme et dont la durée varie selon la disponibilité des données du pays. Un score de 100 et plus indique une reprise complète, ce qui signifie un retour de la demande des consommateurs aux niveaux de 2019.

Commerce

Pendant les neuf premiers mois de 2021, les exportations de produits agroalimentaires et de produits de la mer canadiens vers les États-Unis ont grimpé de 17,5 % pour atteindre 34,7 G$ CA, comparativement à 28,8 G$ CA au cours de la même période l'an dernier. Les répercussions de la COVID-19 sur le commerce agricole continuent d'être négligeables. Les exportations en septembre 2021 étaient évaluées à 4,2 G$ CA, soit un bond de 26,7 % par rapport à septembre 2020. Toutefois, les exportations canadiennes vers les États-Unis ont diminué de 4,0 % d'août à septembre 2021.

Les cinq principaux produits agroalimentaires et produits de la mer canadiens exportés vers les États-Unis au cours des neuf premiers mois de 2020 étaient respectivement les produits de boulangerie (2,3 G$ CA), l'huile de canola (2,0 G$ CA), la viande de bovin désossée fraîche ou réfrigérée (1,7 G$ CA), le crabe congelé (1,6 G$ CA) et le tourteau de canola (1,2 G$ CA).

Accord commercial entre les États-Unis et la Chine, phase un : de janvier 2020 à octobre 2021, les importations par la Chine des produits agricoles visés en provenance des États-Unis s'élevaient à 52,5 G$ US, alors que la cible s'établissait à 68,9 G$ US. Pendant la même période, les exportations américaines des produits agricoles visés à destination de la Chine se chiffraient à 52,2 G$ US, comparativement à la cible établie à 63,2 G$ US. De janvier 2020 à octobre 2021, les achats par la Chine des produits agricoles visés ont atteint 76 % (importations chinoises) ou 83 % (exportations américaines) de la cible de la phase un.

Selon l'USDA, les exportations de produits agricoles des États-Unis pendant l'exercice 2022 devraient se situer à 175,5 G$ US, soit une diminution de 2,0 G$ US par rapport aux prévisions du mois d'août, mais ce qui constitue tout de même un record si elles se réalisent. Cette baisse est attribuable à la diminution des exportations d'oléagineux et des produits dérivés, qui sont partiellement compensées par l'augmentation des exportations de bétail, de volaille, de produits laitiers, de coton et d'éthanol. Les prévisions des exportations de soya ont diminué de 3,9 G$ US pour être amenées à 28,4 G$ US en raison de la baisse des prix et du fléchissement de la demande chinoise. Les exportations de tourteaux de soya devraient se contracter de 800 M$ US pour être ramenées à 4,9 G$ US en raison de la baisse des prix. Les exportations de bétail, de volaille et de produits laitiers devraient s'accroître de 1,9 G$ US pour se chiffrer à 38,7 G$ US et des gains devraient être enregistrés pour tous les principaux produits de base, sauf le porc. L'augmentation est surtout attribuable aux exportations de bœuf, grâce à une révision à la hausse de 800 M$ US, suivies des exportations de volaille et de produits avicoles, qui devraient s'accroître de 700 M$ US, toutes deux sous l'impulsion des prix plus élevés.

Les exportations de produits agricoles par les États-Unis au cours de l'exercice 2022 devraient atteindre 165,0 G$ US, soit une hausse de 5,5 G$ US par rapport aux prévisions du mois d'août, que l'on attribue en grande partie à la croissance des importations de produits horticoles et de bétail. Les importations de produits de bétail devraient augmenter de 800 M$ US grâce à la hausse des importations de bœuf et de porc.

Opinion e confiance des producteurs et prix des aliments

Selon l'Ag Economy Barometer (baromètre de l'économie agricole) du Purdue University-CME Group, l'opinion de confiance des producteurs est demeurée faible en octobre puisque le baromètre de l'économie agricole a enregistré un pointage inférieur à 121, ce qui fait que l'indice a diminué de près d'un tiers depuis le sommet atteint au printemps. Les coûts de revient à la hausse, ainsi que le fait que le prix des produits de base est inférieur aux prix enregistrés plus tôt cette année, sont les principales raisons qui expliquent la baisse dans l'opinion de confiance des producteurs. Le Capital Farm Investment Index (indicateur des investissements de capitaux agricoles) demeure faible, en grande partie à cause des problèmes liés à la chaîne d'approvisionnement puisque quatre répondants sur dix ont mentionné que les stocks réduits de machines les empêchaient de réaliser leurs projets d'achat. Malgré leur faible opinion dans l'ensemble, les producteurs demeurent optimistes à propos de la valeur des terres agricoles, tant pour l'année à venir qu'au cours des cinq prochaines années.

L'indice d'ensemble des prix à la consommation (IPC), qui mesure l'inflation générale, s'est accru de 0,8 % de septembre 2021 à octobre 2021 avant la désaisonnalisation, soit une hausse de 6,2 % par rapport à octobre 2020. L'IPC de tous les aliments a augmenté de 1,0 % de septembre 2021 à octobre 2021, et le prix des aliments était 5,3 % plus élevé qu'en octobre 2020.

En 2021, le prix des aliments consommés à la maison devrait subir une augmentation se situant entre 2,5 % et 3,5 %, et le prix des aliments consommés à l'extérieur devrait s'accroître de 4,0 % à 5,0 %. En 2022, le prix des aliments consommés à la maison devrait augmenter entre 1,5 % et 2,5 %, et le prix des aliments consommés à l'extérieur devrait s'accroître de 3,0 % à 4,0 %.

Le prix du bœuf vendu aux grossistes a diminué de 11,2 % de septembre à octobre 2021, mais il est toujours 23,7 % plus élevé, en moyenne, en 2021 qu'il était en 2020. Malgré une diminution d'un mois à l'autre pour le bœuf vendu aux grossistes, le prix était 41,5 % plus élevé en octobre 2021 qu'en octobre 2020. Les coûts élevés des aliments pour animaux, la demande accrue et les changements apportés dans la chaîne d'approvisionnement ont fait augmenter le prix du bœuf vendu aux grossistes. La concentration et les contraintes liées à la capacité dans l'industrie de la viande pourraient avoir une incidence sur le prix de la viande et sa propagation entre différents points dans la chaîne d'approvisionnement. On avait prévu que le prix du bœuf vendu aux grossistes fasse un bond pour s'établir entre 23,0 % et 26,0 % en 2021.

Le prix du blé à la ferme et le prix de la farine de blé vendue aux grossistes ont augmenté de septembre à octobre 2021, respectivement de 2,9 % et de 4,5 %. Le prix du blé à la ferme devrait connaître une croissance se situant entre 38,0 % et 41,0 % en 2021, tandis que le prix de la farine de blé vendue aux grossistes devrait augmenter entre 17,0 % et 20,0 %.

Chaîne d'approvisionnement alimentaire

Selon le rapport sur le bœuf du T4 de Rabobank, le marché mondial du bœuf semble se resserrer à mesure que la demande augmente et que la production de bœuf par les États-Unis tend à se contracter. Rabobank affirme que la sécheresse et les conditions de pâturage se sont améliorées, mais que l'approvisionnement en aliments pour animaux et en foin demeure limité. Toutefois, les exportations de bœuf américain devraient être résilientes pendant la prochaine année.

La valeur du fret transfrontalier entre les États-Unis et les pays d'Amérique du Nord (Canada et Mexique) a atteint 109,2 G$ US en septembre 2021, selon les données diffusées par le Bureau of Transportation Statistics. Les chiffres de septembre indiquent une baisse de 3,4 % par rapport à août 2021, une hausse de 13,3 % par rapport à septembre 2020 et une augmentation de 7,7 % par rapport au niveau antérieur à la pandémie, enregistré en septembre 2019 (101,4 G$ US).

Transport routier : les expéditeurs américains éprouvent des problèmes dans la chaîne d'approvisionnement pour l'ensemble des modes, y compris le secteur du chargement partiel, où la durée de l'acheminement est prolongée, les collectes et les livraisons enregistrent des ratés et la capacité insuffisante continuent de perturber les expéditions pendant la recrudescence de la pandémie de COVID-19.

Fret maritime : des volumes records frappent les principaux points d'accès portuaires des États-Unis, soit New York-New Jersey et Los Angeles-Long Beach, ce qui entraîne des retards dans les mouvements généraux des conteneurs. Tout spécialement à Los Angeles-Long Beach, la situation portuaire continue de se détériorer et crée un engorgement, ce qui se répercute aussi sur les opérations de l'arrière-pays, Chicago étant le principal carrefour ferroviaire intérieur touché.

Fret aérien : plusieurs compagnies aériennes ajoutent de nouvelles capacités de chargement, ce qui pourrait assouplir les restrictions liées à l'espace et les tarifs élevés. La capacité du fret aérien d'Amérique latine et d'Amérique du Nord s'est accrue pour revenir aux niveaux antérieurs à la COVID, au début de janvier.

Secteur de la restauration

Selon la National Restaurant Association, les restaurants ont continué d'avoir de la difficulté à grossir leurs effectifs en septembre 2021, puisque la croissance de l'emploi a gravement ralenti par rapport aux derniers mois. Lors d'un sondage réalisé par l'Association en septembre 2021, 78 % des exploitants ont mentionné que leur restaurant n'avait pas assez d'employés pour soutenir la demande actuelle des consommateurs.

Les restaurants américains sont confrontés à des défis attribuables à la hausse du coût des aliments et à des problèmes liés aux chaînes d'approvisionnement. Dans un sondage réalisé par la National Restaurant Association en septembre 2021, 95 % des exploitants ont dit que leur restaurant était aux prises avec des retards d'approvisionnement ou des pénuries de boissons ou d'aliments principaux depuis quelques mois. Surtout en raison de la flambée du prix des aliments, la rentabilité a été ramenée aux niveaux antérieurs à la pandémie dans la vaste majorité des restaurants. Dans le sondage de l'Association réalisé en septembre 2021, 85 % des exploitants ont fait savoir que leur marge bénéficiaire était inférieure aux niveaux où elle se situait avant l'éclosion de COVID-19.

Autres indicateurs de la relance

Hôtels

STR Inc. a déclaré que le rendement des hôtels aux États-Unis avait diminué par rapport à la semaine précédente, mais qu'il se rapprochait des niveaux antérieurs à la pandémie, selon les toutes dernières données de STR jusqu'au 20 novembre.

Consommateurs

Selon le tout dernier sondage de McKinsey, les consommateurs américains ont fait preuve d'un grand optimiste pendant la recrudescence du variant Delta et ils ont beaucoup dépensé en juillet et en août, sous l'impulsion des consommateurs plus jeunes et ayant un revenu plus élevé. Les engagements à l'extérieur se multiplient depuis février, surtout les activités sociales, les repas en salle à manger et le conditionnement physique. Toutefois, la majorité des consommateurs ont fait savoir que le variant Delta les a incités à pratiquer moins d'activités à l'extérieur de leur domicile ou en les modifiant.

En octobre, le revenu personnel a augmenté de 93,4 G$ US, soit un taux mensuel de 0,5 %, tandis que les dépenses de consommation se sont accrues de 214,3 G$ ou 1,3 %. La hausse du revenu personnel est surtout attribuable à l'augmentation de la rémunération des employés. Le taux d'épargne personnelle (c'est-à-dire l'épargne personnelle en pourcentage du revenu personnel disponible) était de 7,3 % en octobre, comparativement à 8,2 % en septembre, selon l'U.S. Bureau of Economic Analysis.

La confiance des consommateurs américains a grandement diminué depuis le milieu de 2021, pour être ramenée à des niveaux qui s'approchent de ceux du début du ralentissement causé par la pandémie de COVID-19, au printemps 2020. La confiance des consommateurs a été ébranlée par le taux d'inflation élevé, qui a érodé les hausses de salaire nominal, et par la recrudescence des risques d'infection par la COVID-19 avec l'arrivée du variant Delta.

Pour de plus amples renseignements

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Plus de renseignements sur les marchés agroalimentaires :

Renseignements sur les marchés internationaux de l'agroalimentaire
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Secteurs agricoles du Canada
Aliments transformés et boissons, aide relative aux exigences réglementaires, processus d'approbation réglementaire, réglementation du secteur, Loi sur le commerce des spiritueux.

Ressources

Service de rapport personnalisé – Rapport sur la relance dans le marché des États-Unis
Rapport d'analyse mondiale

Préparé par : Zhiduo, Wang, analyste de marché

© Sa Majesté la Reine du chef du Canada, représentée par le ministre de l'Agriculture et de l'Agroalimentaire (2022).

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