Résultats de l’évaluation effectuée par le bénéficiaire au cours de l’exercice visé par le rapport, et plans futurs |
Le 30 juin 2020, une évaluation du rendement obligatoire (ERO) a été présentée, comme l’exigent les conditions de l’entente de financement sur 15 ans de l’ICPA (article 11) conclue avec Agriculture et Agroalimentaire Canada, qui constitue la troisième de quatre ERO exigées selon les conditions de cette entente. Le consultant engagé pour effectuer l’ERO a travaillé de manière efficace et en collaboration afin de livrer un produit de qualité, qui représente une évaluation juste et objective de l’ICPA au cours des cinq dernières années. Le consultant a pris soin d’employer une panoplie d’outils permettant de recueillir des renseignements sur le rendement de l’ICPA, avant de rassembler les résultats et les recommandations qui figurent dans le rapport final.
Faits saillants tirés des résultats du rapport :
- L’ICPA continue de répondre à la nécessité bien distincte et pertinente de cerner les enjeux prioritaires, de consolider et d’intégrer les résultats des recherches actuelles, de convoquer des réunions de dialogue des intervenants clés, ainsi que de traduire et de diffuser les résultats de manière à orienter la formulation des politiques.
- L’ICPA fonctionne constamment de manière indépendante et impartiale afin de pouvoir mener des recherches indépendantes sur les politiques que les gouvernements ne peuvent pas effectuer facilement; l’ICPA est même autorisé à examiner des enjeux et des options qui peuvent aller à l’encontre des politiques gouvernementales en vigueur. Un taux élevé d’intervenants de l’ICPA convient que les recherches sur les politiques, les dialogues avec les intervenants et les produits du savoir de l’ICPA répondent directement à leurs besoins.
- Les documents sur les recherches et les dialogues de l’ICPA sont couramment utilisés par les intervenants, qui connaissent l’organisation, le plus souvent pour orienter les analyses des enjeux touchant les politiques agroalimentaires et moins souvent pour guider l’élaboration des positions sur les enjeux touchant les politiques agroalimentaires et la formulation des politiques agroalimentaires. Si l’ICPA n’existait pas, aucun autre organisme pourrait en arriver à jouer le rôle qu’il tient ou il faudrait beaucoup de temps pour qu’un organisme en arrive à acquérir un rôle indépendant et neutre semblable.
Le rapport recommande que l’ICPA :
- mette en œuvre une stratégie proactive de communication et de relations externes afin de mieux faire connaître le mandat, le modèle opérationnel, les activités et les extrants de l’Institut parmi ses principaux intervenants cibles, en particulier ceux du gouvernement dans les ministères fédéraux et provinciaux/territoriaux, et dans le milieu de la recherche, de même que d’en élargir la compréhension;
- fasse la promotion proactive des produits du savoir de l’Institut auprès des intervenants et les diffuse, pour en favoriser l’utilisation dans l’analyse et la formulation des politiques, notamment des mises à jour régulières sur les priorités de recherche, l’avancement des programmes de travail en cours et la disponibilité de nouveaux produits du savoir;
- mette à l’essai et applique des approches en ligne pour discuter et débattre des enjeux et des options stratégiques afin de maintenir la visibilité de l’ICPA et sa collaboration à l’analyse et à la formulation des politiques pendant les restrictions courantes liées à la distanciation sociale et, à long terme, comme complément aux activités de dialogue en personne de l’Institut;
- instaure un système de mesure du rendement et de production de rapports pour suivre la production des extrants et l’atteinte des résultats, et ainsi permettre à l’ICPA de faire montre des répercussions de son travail;
- accroisse la participation des intervenants du Québec en leur offrant plus d’occasions de prendre part aux événements de l’Institut et en offrant les produits du savoir de l’ICPA en français et en anglais.
La proposition de valeur renouvelée et la nouvelle orientation stratégique de l’ICPA sont déjà utiles pour faire avancer la réponse aux améliorations recommandées. L’organisme est fier de constater l’importance accordée à une stratégie proactive de communication et de relations externes visant à mieux faire connaître son mandat puisque le conseil d’administration a dernièrement approuvé une nouvelle stratégie de communication et de mobilisation de l’ICPA pour mieux faire connaître l’Institut et la mobilisation des intervenants. Au cours des 15 dernières années, l’ICPA a répondu à un besoin bien distinct et pertinent, et il continuera de le faire. À cet égard, le conseil d’administration et l’équipe de direction de l’ICPA examineront les recommandations du rapport en détail et prendront toutes les mesures qui s’imposent pour les intégrer dans la planification à long terme.
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Sommaire des résultats obtenus par le bénéficiaire |
L’ICPA a également renouvelé l’importance qu’il accorde à ses travaux parmi les quatre cernés au cours des dernières années, soit améliorer le capital naturel, optimiser la croissance, faciliter le commerce et assurer la confiance du public, face à deux défis pressants, critiques, interreliés et générationnels : le Canada dans un contexte mondial multipolaire et l’atténuation des changements climatiques et l’adaptation à ceux-ci. Ces deux grands défis servent maintenant de cadre aux travaux de recherche sur les politiques de l’ICPA à venir et offrent à l’agriculture une occasion de devenir un véritable atout stratégique pour le Canada, tout en conservant et en améliorant le gagne-pain des producteurs et des transformateurs.
Voici une synthèse des dialogues et des documents de recherche de l’ICPA entrepris en 2019-2020.
Engager des dialogues :
- Optimisation de l’utilisation des terres pour une croissance durable (avril 2019)
Après un dialogue de l’ICPA couronné de succès à Calgary (Alberta) en février, le dernier des dialogues de l’Institut sur l’optimisation de l’utilisation des terres pour une croissance durable a eu lieu à Guelph, en avril 2019, et a attiré plus de 150 participants des secteurs de la production primaire, de la transformation et d’autres parties de l’industrie, des gouvernements, d’universités et d’organisations non gouvernementales, afin de discuter des façons d’optimiser l’utilisation des terres et d’améliorer les résultats environnementaux, tout en garantissant la compétitivité et la prospérité du secteur à long terme. Le dialogue de Guelph comportait un groupe de la nouvelle génération dont les membres pouvaient présenter leur point de vue sur les questions à l’ordre du jour et des solutions possibles.
Ces deux dialogues combinés ont donné lieu à plus de vingt présentations et sept documents commandés par l’ICPA et publiés sur son site Web. L’Institut a diffusé un rapport sommaire sur les deux dialogues sur son site en septembre 2019. Les dialogues ont aidé à mieux faire connaître les pratiques d’utilisation des terres et leurs répercussions sur les émissions de gaz à effet de serre, sur la qualité de l’air et de l’eau, la biodiversité, la rentabilité et la compétitivité du secteur, ainsi que les solutions possibles pour optimiser l’utilisation des terres en vue d’une croissance durable. Autre partie intégrante des dialogues : la discussion sur les instruments de politique les plus efficaces et les initiatives volontaires et de l’industrie qui peuvent servir à promouvoir la production durable. Ces dialogues ont permis de mieux comprendre comment l’utilisation des terres agricoles peut offrir des solutions aux changements climatiques et ont servi de fondement à une bonne partie des travaux de l’ICPA réalisés pendant le présent exercice et par la suite.
- Le commerce et la durabilité du secteur agricole et agroalimentaire de l’Amérique du Nord (juillet 2019)
L’ICPA a organisé un dialogue en collaboration avec l’United States Farm Foundation sous le thème du commerce et de la durabilité du secteur agricole et agroalimentaire de l’Amérique du Nord en juillet 2019, à Chicago, en Illinois. Ce dialogue s’est attardé aux défis à relever pour mieux comprendre les relations entre le commerce et la durabilité. Cet événement a réuni des experts de disciplines diverses, notamment le milieu universitaire, l’industrie, le gouvernement et les segments des producteurs du secteur de l’agriculture et de l’agroalimentaire des États-Unis et du Canada. Les discussions ont porté sur l’état des initiatives mondiales de durabilité, les répercussions de l’interruption du commerce de produits agricoles et l’avenir du commerce agricole et de la durabilité de l’agriculture. Les discussions sont résumées dans un communiqué diffusé sur le site Web de l’ICPA, en août 2019.
- Le commerce dans un monde chaotique (novembre 2019)
L’ICPA a tenu une petite conversation avec l’industrie sous le thème du commerce dans un monde chaotique, le 20 novembre 2019, à Toronto. La conversation entre un petit nombre d’intervenants de l’industrie et de hauts fonctionnaires a porté sur les changements dans le paysage agroalimentaire canadien et international et leurs répercussions sur les anciennes politiques agricoles et l’art du possible dans les années à venir. Le but de cette conversation était de donner une idée des futurs dialogues sur le commerce de l’ICPA, d’acquérir une compréhension commune des enjeux actuels, de leurs répercussions à long terme et des possibilités d’avenir, après la crise actuelle, grâce à une nouvelle vision pour le Canada sur les marchés mondiaux et pour un système multilatéral renouvelé ou restructuré.
Conceptualiser et achever les nouvelles recherches :
- Systèmes agricoles, pratiques d’utilisation des terres et des eaux au Québec (avril 2019)
Ce document, commandé par l’ICPA, a été présenté lors du dialogue de Guelph et s’attarde aux enjeux liés à la qualité de l’environnement et de l’eau au Québec, qui sont causés par la production agricole, du point de vue de la santé humaine, de la faune aquatique et du potentiel récréatif des lacs et des rivières. L’auteur, Bruno Larue, de l’Université Laval, y traite des interventions stratégiques antérieures et des défis qu’il reste à relever en ce qui a trait à des enjeux particuliers liés à la qualité de l’eau, en centrant la conversation sur l’évolution de l’agriculture au Québec et les pressions environnementales passées et actuelles sur la qualité de l’eau.
- Conflits commerciaux du canola pour le commerce agricole entre le Canada et la Chine : Une perspective chinoise de la politique (juin 2019)
À la lumière des événements récents qui ont eu une incidence sur le commerce du canola et d’autres produits agricoles entre le Canada et la Chine, ce document présente un examen rétrospectif et systématique des politiques agricoles de la Chine. Le rapport se penche sur le rôle du canola dans le commerce agricole entre le Canada et la Chine, il décrit la tendance en matière de gouvernance sous l’administration de Xi Jinping et il se conclut par des mesures recommandées, que le Canada peut prendre afin d’améliorer ses relations agricoles avec la Chine pour que le commerce puisse reprendre à long terme.
- Un cadre politique qui préside aux réformes et innovations pour les conflits environnementaux de l’agriculture en Ontario (juillet 2019)
Les pratiques de production agricole sont de plus en plus surveillées, tout spécialement en ce qui concerne leurs effets sur divers aspects de la production environnementale. S’inspirant d’exemples de conflits environnementaux associés à la production agricole en Ontario, l’auteur, Glenn Fox, de l’Université de Guelph, esquisse le cadre de la politique agricole et environnementale qui intègre les derniers ajouts à la théorie économique d’élaboration de politiques dans un document commandé par l’ICPA, qui a fait partie du dialogue de Guelph.
- L’agriculture efficace en tant que fournisseur de solutions aux gaz à effet de serre (septembre 2019)
Produit conjointement par l’ICPA et Agri-Food Economic Systems, ce document décrit comment l’agriculture canadienne dispose de ce qu’il faut pour devenir un fournisseur de solutions aux changements climatiques. Le Canada a réduit ses émissions de gaz à effet de serre dans la production agricole et animale grâce aux politiques, aux pratiques et aux initiatives qui ont mené à l’adoption généralisée de pratiques de gestion bénéfiques, à l’agriculture de précision, à de nouvelles cultures, à de nouvelles technologies, à l’éducation et à la formation. Le Canada est maintenant l’un des producteurs de bœuf qui produit le moins d’émissions de gaz à effet de serre au monde et il a augmenté les puits de carbone. Il est essentiel que le secteur transmette ce message en produisant des données et des mesures pour quantifier ses progrès, et qu’il continue de soutenir ces progrès au moyen de politiques efficaces.
- Mesurer les externalités touchant l’agriculture canadienne : Comprendre l’impact de la production agricole sur l’environnement (janvier 2020)
En attribuant une valeur monétaire aux répercussions environnementales de la production agricole au Canada, on a brossé un tableau plus clair de la contribution des agriculteurs canadiens à la réduction de leur impact sur l’environnement. L’ICPA a demandé à une équipe de l’Université de la Saskatchewan et de l’Université de Guelph d’élaborer une méthode et des estimations de l’incidence de l’agriculture sur la qualité de l’air et de l’eau, la santé des sols, les changements climatiques, l’habitat de la faune et la biodiversité, désignés sous le terme « externalités ». Il s’agit du premier rapport qui estime les externalités pour l’agriculture canadienne.
- Compétitivité du secteur canadien de la transformation des aliments, la croissance optimisée et les opportunités mondiales : Un aperçu des tendances actuelles (février 2020)
Ce document, commandé par l’ICPA, montre que, même si le secteur canadien de la transformation des aliments et des boissons s’est remis d’un déficit commercial de -1,1 milliard de dollars en 2015 pour accumuler un excédent de 2,7 milliards de dollars en 2018, le gouvernement et le secteur doivent injecter plus d’investissements pour tirer parti des possibilités de croissance du secteur canadien de la transformation des aliments et des boissons. Il est tout spécialement important que plus d’investissements soient engagés dans le secteur pour que le Canada puisse demeurer résilient pendant les périodes de perturbations des échanges commerciaux et qu’il puisse atteindre ses cibles de croissance des exportations. En raison de la crise de COVID-19 actuelle, la résilience des chaînes canadiennes d’approvisionnement agricole et agroalimentaire, de transformation des aliments et des boissons revêt la plus haute importance.
- L’agriculture et l’alimentation pendant et après la pandémie de COVID-19 : La solidification et le renforcement d’un service canadien essentiel (mars 2020)
L’éclosion d’une maladie humaine comme la COVID-19 touche la santé, les déplacements et le comportement des gens. Que nous contractions la maladie ou que nous essayions de la prévenir, nous modifions tous nos comportements personnels et professionnels. La crise de la COVID-19 pose un ensemble de risques précis pour le Canada. Il faut d’abord définir quels sont ces risques, mais il faut ensuite se concentrer davantage et créer un débat sur les besoins en matière de politiques et de plans d’urgence. L’ICPA souhaite exposer, de façon préliminaire, certains de ces risques et proposer des politiques et des plans d’urgence relatifs à la chaîne d’approvisionnement agricole et alimentaire qu’il faut mettre en œuvre. L’ICPA espère que cela suscitera un dialogue sincère entre l’industrie, le gouvernement et les associations sans but lucratif qui élaborent des options de politique publique.
Collaborer avec la prochaine génération :
- Pourquoi l’industrie du bœuf est-elle la cible de critiques? Comparaison préliminaire des émissions de gaz à effet de serre des industries du bœuf du Canada et de l’Inde (juin 2019)
La stagiaire de l’ICPA, Marlayna van Hoepen, examine comment l’Inde pourrait se tourner vers le Canada pour obtenir des conseils et ainsi élaborer des options stratégiques qui encourageront les producteurs de bœuf de l’Inde. De meilleures pratiques de gestion des terres, comme l’amélioration de la gestion de l’eau et le pâturage en rotation, réduiraient les émissions de gaz à effet de serre de l’Inde. Le Canada est un exemple de réussite en matière d’atténuation des émissions de gaz à effet de serre et d’engagement à l’égard des progrès continus.
- Récapitulation des bourses de doctorat de l’ICPA de 2017 à 2019
En 2017, l’ICPA a constitué une petite équipe multidisciplinaire composée de quatre étudiants diplômés pour qu’elle effectue une recherche sur les problèmes intersectionnels de gestion et d’utilisation de l’eau en agriculture. Chaque étudiant devait réaliser un projet individuel qui était lié au point de vue de sa propre discipline sur l’agriculture et l’eau. De plus, toute l’équipe devait rédiger un rapport de recherche conjoint et le présenter, lors du séminaire de la prochaine génération, à un petit groupe d’intervenants spécialisés, qui serait le point culminant des bourses de doctorat de l’ICPA de 2017 à 2019.
Document de recherche de groupe :
- La contribution des zones humides à une agriculture durable au Canada (novembre 2019)
En plus de leurs projets individuels, les quatre stagiaires doctoraux de l’ICPA ont réalisé un solide projet de groupe sur le thème de l’eau et de l’agriculture au Canada. Ce rapport présente un résumé interdisciplinaire des écosystèmes de zones humides dans le contexte de l’agriculture et démontre comment ces écosystèmes peuvent être un atout majeur pour une agriculture canadienne plus durable. Les auteurs offrent une série de recommandations pour les chercheurs, les décideurs et les producteurs qui prennent en considération l’état actuel de la conservation des zones humides et les possibilités de futures mesures à prendre.
Séminaire :
- Séminaire final des stagiaires du projet sur l’eau et l’agriculture de l’ICPA de 2017 à 2019 pour la prochaine génération de chercheurs
Comme dernier événement des bourses de doctorat de 2017 à 2019, l’ICPA a organisé un séminaire où les stagiaires doctoraux avaient la possibilité de présenter leurs résultats à un petit groupe composé de plus de 30 experts et intervenants. Chaque présentation était suivie de la réponse d’un groupe d’experts à la recherche et d’une discussion ouverte entre les participants. Des représentants d’Agriculture et Agroalimentaire Canada, du Réseau canadien de la gestion de l’eau, de la Fédération canadienne de l’agriculture, du Conseil canadien du porc, de la Fédération canadienne de la faune, de l’Université Carleton, de Canards Illimités Canada, de Financement agricole Canada, de l’Union nationale des fermiers et de l’Université de Guelph étaient présents, pour ne nommer que quelques-unes des personnes qui ont assisté à ce dernier séminaire.
Documents individuels :
- Conséquences environnementales et économiques des réseaux de drainage souterrain au Canada (juin 2019)
Un des stagiaires doctoraux de l’ICPA de 2017 à 2019, Vivekananthan Kokulan, a étudié les conséquences environnementales et économiques des réseaux de drainage souterrain au Canada à la suite de l’accroissement récent de la demande de drainage agricole face à l’incertitude liée aux régimes de précipitations qui sont prévus en raison des changements climatiques.
- Caught in the Crossfire – Les enjeux interjuridictionnels de la gestion de l’eau agricole dans le bassin versant de la rivière des Outaouais (juin 2019)
Dans ce document publié uniquement français, l’un des stagiaires doctoraux de l’ICPA de 2017 à 2019, Alexandre Lillo, a examiné les enjeux intergouvernementaux liés à la gestion de l’eau à des fins agricoles dans le bassin versant de la rivière des Outaouais, dans le but de réunir des intervenants gouvernementaux et non gouvernementaux grâce à des stratégies politico-juridiques.
- Irrigation, pommes de terre et conséquences imprévues d’optimiser la gestion des eaux (octobre 2019)
Un des stagiaires doctoraux de 2017 à 2019, Jean-Pascal Matteau, a étudié les effets de certains traitements de gestion de l’eau sur l’architecture des racines de la pomme de terre et la distribution spatiale des tubercules ainsi que leurs conséquences sur les récoltes de pommes de terre. Ce document se veut un outil utile aux producteurs de pommes de terre et un guide sur la gestion plus efficace de l’eau et de l’irrigation.
- La santé et la sécurité des sols : Les dimensions régionales, nationales et internationales (octobre 2019)
Un des stagiaires doctoraux de 2017 à 2019, Paul Benalcazar, s’est penché sur les risques actuels et futurs de la santé et de la sécurité des sols à l’aide d’une étude de cas dans le nord de l’Ontario, en examinant les dimensions régionales, nationales et internationales des options stratégiques afin d’encourager de meilleures pratiques agricoles et de réduire la dégradation des sols.
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